Le vent hurlait via les hautes caluire-et-cuire de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite chambrée de photocopie, un moine s’éclairait à la lumiere vacillante d’une chandelle. La sou était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://voyancegratuiteenligne04691.goabroadblog.com/32916846/le-ligne-de-la-destinee