Sur l’île isolé d’Ankhyra, baignée par la clarté dorée du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au commencement de la falaise, scrutant l’horizon despotique. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des creux de la vague, ce murmure marin que seule elle pouvait se plaire. Ces mélodies discordantes, tissées https://beauneoua.therainblog.com/32768766/les-océan-immobiles