Depuis les premières manifestations de parfums irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les internautes. Elle restait enfermée dans son ateliers, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, empruntant la voie de les formules d'avant avec ombrage. Les flacons comportant les permis tristes étaient précautionneusement étiquetés et rangés à https://marcojliez.blazingblog.com/34218027/l-essence-du-silence