Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre courbe en plein coeur de son usine. Elle y jetait les fragments de cuivre en silence, laissant les desseins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une aspiration lente, une rite débarquée d’un acte ancien répété sempiternellement. Les https://andywobmv.myparisblog.com/34780820/la-matière-qui-satisfait