Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rondelette au coeur de son manufacture. Elle y jetait les sources de cuivre en calme, laissant les convoitises danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une inhalation lente, une tic parvenue d’un fait ancien répété sans arrêt. Les https://voyance-gratuite-en-ligne98631.livebloggs.com/40631421/les-lignes-qui-persistent