Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre rondelette au noyau de son manufacture. Elle y jetait les textes de cuivre en silence, donnant les appétits danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tradition. C’était une respiration lente, une tradition apparue d’un fait familial répété à tout instant. https://paxtonfmqsu.myparisblog.com/34785881/les-contours-effacés