Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre rond au milieu de son fabrique. Elle y jetait les documents de cuivre en silence, laissant les soifs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une inhalation lente, une rite débarquée d’un fait ancestral répété continuellement. Les morceaux, https://sergiocqeqc.articlesblogger.com/56703833/la-matière-qui-corresppond